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Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.". ''La liberté saine qu'on accorde aux autres c'est aussi de la liberté qu'on s'accorde''
À LIRE ET RELIRE
50% des gens vivants aujourd’hui mourront du cancer.
Et cela signifie qu’on a laissé faire des choses honteuses et dangereuses dans le Commerce Internationale
L’Arsenic est reconnu comme être cancérigène chez l’humain, il est associé aux cancers… of the lung, skin, liver, kidney and bladder (Schoolmeester, 1980).
« Quand quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie... Alors seulement il est possible de l'aider » Hippocrate
Le manque de SOLEIL, donc le manque de vitamines D. Ce sont les ultra violets qui produisent la vitamine D du soleil. Le cancer serait créée par le manque de vitamine D alors que la science nous fait croire que le soleil est néfaste et qu’il faille s’en protéger.
Les cancers et toutes ces maladies nous arrivent lorsqu’on se plaint trop pour rien et sur des insignifiances
La viande est la principale cause du cancer du sein, du côlon et de l’estomac !
Depuis le début des années 1980, on croit que les graisses alimentaires seraient l'élément de la diète le plus susceptible de provoquer la cancérogenèse, bien que les recherches chez les humains n'aient pas encore démontré hors de tout doute une telle corrélation. Les graisses alimentaires, surtout les gras saturés (les viandes et les fritures), seraient donc un facteur de risque (parmi d'autres), et plus particulièrement pour le cancer colorectal. Par ailleurs, la consommation de certaines viandes (les charcuteries, le bacon, le boeuf, le porc et l'agneau) est associée à un risque accru de cancer métastatique de la prostate. Quant aux nutriments pouvant exercer une action préventive ou thérapeutique, ils varient quelque peu d'un type de cancer à l'autre. Mentionnons les céréales complètes, l'huile d'olive, les fruits et légumes, et plus particulièrement le brocoli et les autres crucifères, les aliments riches en isoflavones (le soya), en vitamine E et en lycopènes (les tomates, le pamplemousse rose, le melon d'eau). Voir nos fiches Cancer de la prostate, Cancer de l'endomètre, Cancer du sein, Cancer colorectal ainsi que les Recommandations alimentaires pour personnes atteintes de cancer.
Chaque année, aux Québec, les 1/3 des mortalités est attribué à la mauvaise alimentation : plus précisément à une alimentation trop carnée et trop riche en protéines et en graisses animales. L’excès de protéines animales acidifie l’organisme et les terrains acides sont propices aux développements des cancers. Le plus grand Institut de recherche médicale du monde, la NIH, a constaté en 2001 que LE FAIT DE MANGER DE LA VIANDE ROUGE ÉLÈVE LE RISQUE DE CANCER. Maladies de l’alimentation carnée chez l’humain. *** Une tranche de viande cuite sur charbon de bois équivaut en benzopyrènes (substance cancérigène) à la fumée de plus de 20 paquets de cigarettes. Attention aux graisses saturées (viande, volailles, œufs, lait).LA VOLAILLE et le cancer du sein et des intestins. Le taux du cancer du sein est relié directement à la quantité de viande consommée. La viande acidifie notre organisme et qui est le terrain aux développements de biens des cancers (du sein, du côlon, de la prostate, de l’estomac…). Ceci est connu qu e les gras saturés de la viande sont la cause de l’Artériosclérose, d’infarctus et de nombreuses maladies cardio-vasculaires. Tous les aliments d’origine animale ouvrent la voie à des maladies dégénératives, ils encrassent l’organismes et détériorent à la longue nos organes vitaux. Les protéines animales causent une usure prématurées de nos organes (diabète : le pancréas qui finit par s’épuiser) et diminuent notre espérance de vie. Ils réduisent la résistance du corps aux maladies. Les risques du cancer de l’utérus sont proportionnel à la consommation carnée.
LE POULET GRILLÉ EST CANCÉRIGÈNE. Une étude récent et sérieuse vient d’en conclure que LA VIANDE GRILLÉE ET SURTOUT LE POULET GRILLÉ SONT CANCÉRIGÈNES. (ce matin à 7 hrs ce 1 nov 2006 annoncé à la télé) Ces Chercheurs disent même que c’est connu depuis 50 ans …. La viande grillée double le risque de cancer du colon et du sein chez la femme… Ne pas consommer de jus dans ces viandes nous dit la nutritionniste de la télé. Et ils suggèrent de manger des fruits et des légumes parce qu’ils viennent contrecarrer les mauvais effets des benzopyrènes apparaissant de la viande fumée et grillée
Les fabricants de CANCER
Le Dr Hardin B. Jones de l’Université de Californie a mené une étude durant 23 ans qui révèle ceci : «Les cancéreux soumis aux interventions chirurgicales et aux traitements de la chimio ont vécu en moyenne 3 ans seulement. Ceux qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne 12 ans»!
LE CANCER DU CÔLON ne se retrouve que chez les gros mangeurs de viande (et la médecine actuelle pour tenter de les guérir: les met au végétarisme). *** L’Argentine et l’Uruguay font partie des plus grands consommateurs de viande de bœuf du monde et parallèlement ils font partie des pays qui sont le plus touché par le cancer du sein et de l’intestin. *** Une étude de l’université de Minnesota qui a été publié en septembre 2002, explique que le fait de manger de la viande rouge grillé favorise le cancer du pancréas. Des produits animales contiennent beaucoup d’acidité arachide, à partir desquels se créer des éléments inflammatoires. Ces éléments peuvent causer la neurodermatite, des inflammation de l’intestin grêle et du côlon, de l’asthme, de l’arthrite, de l’arthrose et de rhumatismes. Une quantité de fer trop élevé comme la consommation de viande l’apporte, est une source dangereuse pour les radicaux libres qui endommage les vaisseaux sanguins. Le risque d’infarctus augmente spécialement chez les hommes
Le cancer
Depuis le début des années 1980, on croit que les graisses alimentaires seraient l'élément de la diète le plus susceptible de provoquer la cancérogenèse, bien que les recherches chez les humains n'aient pas encore démontré hors de tout doute une telle corrélation. Les graisses alimentaires, surtout les gras saturés (les viandes et les fritures), seraient donc un facteur de risque (parmi d'autres), et plus particulièrement pour le cancer colorectal. Par ailleurs, la consommation de certaines viandes (les charcuteries, le bacon, le boeuf, le porc et l'agneau) est associée à un risque accru de cancer métastatique de la prostate. Quant aux nutriments pouvant exercer une action préventive ou thérapeutique, ils varient quelque peu d'un type de cancer à l'autre. Mentionnons les céréales complètes, l'huile d'olive, les fruits et légumes, et plus particulièrement le brocoli et les autres crucifères, les aliments riches en isoflavones (le soya), en vitamine E et en lycopènes (les tomates, le pamplemousse rose, le melon d'eau). Voir nos fiches Cancer de la prostate, Cancer de l'endomètre, Cancer du sein, Cancer colorectal ainsi que les Recommandations alimentaires pour personnes atteintes de cancer.
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Viande et cancer : le steak voit rouge
Une étude d’envergure montre qu'une consommation importante de viandes rouges et de viandes transformées augmente le risque de cancer du côlon.
Cela fait bien longtemps que la viande est accusée de favoriser le développement de certains cancers, en particulier celui du côlon. Mais les arguments scientifiques ont souvent été biaisés par l’apport en graisses saturées, qui va souvent de pair avec l’apport en viande, et influence à lui seul le risque de cancers.
Une équipe de l’American Cancer Society, à Atlanta, a examiné la relation entre la consommation à long terme de viandes et le risque de cancer du côlon et du rectum. L’étude porte sur près de 150 000 adultes âgés de 50 à 74, issus de 21 états. Une première évaluation de la consommation de viandes a été faite en 1982, une seconde entre 1992 et 1993, lorsque les participants ont été enrôlés dans l’étude CPS II (Cancer Prevention Study II). Au 31 août 2001, 1667 cas de cancers recto-coliques ont été diagnostiqués.
Risque accru de 50 %
Les résultats montrent que les personnes se situant dans le tertile le plus élevé pour la consommation de viandes rouges et de viandes transformées (charcuteries…) depuis 1982 ont un risque de cancer du côlon distal (la section proche du rectum) qui est augmenté de 50 %, par rapport à ceux qui en mangent le moins. Ceux avec le rapport viande rouge/volaille et poisson le plus élevé voient leur risque augmenté de 53 %. A l’inverse, la consommation à long terme de volaille et de poisson est inversement associée au risque de cancer du côlon proximal et distal. Pour le cancer du rectum, une consommation élevée de viande rouge en 92/93 est associée à une augmentation du risque de cancer de 71 %.
Bien que ces résultats soient loin d’être roses pour la viande, Walter Willett, de l’école de santé publique de Harvard, précise dans un éditorial que la saga viande rouge et cancer n’est pas terminée, et que d’autres études à long terme, prenant notamment en compte les modes de cuisson, sont nécessaires.
Il ne s’agit pas de supprimer purement et simplement la viande rouge et les viandes transformées, mais cette étude vient conforter l’adoption d’une alimentation proche du modèle méditerranéen, avec moins de viande rouge, plus de volaille et de poisson. Fort heureusement, précise le célèbre épidémiologiste, remplacer du bœuf rôti et de la purée par du saumon en croûte aux pistaches et un pilaf de riz basmati brun n’est pas un sacrifice culinaire !
Nicolas Guggenbühl
Diététicien Nutritionniste
ENZYMES
Il faut savoir que le poisson de même que les autres protéines animales (oeufs, viande) perdent leurs enzymes à la cuisson or il apparaît que le manque d'enzymes est un problème crucial non seulement pour la digestion du cancéreux mais aussi pour son état général. En raison de sa carence enzymatique personnelle, le cancéreux fatigue son organisme chaque fois qu'il consomme des protéines cuites parce que la cuisson détruit les enzymes animales qui permettraient de digérer correctement les protéines en question.
Le même phénomène se produit pour les végétaux et les enzymes végétales. Pour une bonne digestion, nous gagnerions à consommer crus au moins 75 % des aliments.
Consommer des fruits et légumes de saison, mûrs mais non abîmés.
- Eplucher les fruits et légumes non 'bio' et les jeter si leur goût est frelaté.
- Eviter les légumes produits sous serre ou hors sol, vérifier la provenance des légumes.
- Choisir des aliments le moins longtemps stockés.
- Eviter certains modes de conservation : salaison, fumaison.
- Eviter les aliments ayant subi des transformations, des préparations.
- Eviter ce que les américains appellent la "junk food" c'est-à-dire toutes les boissons non naturelles, les petites crèmes avec colorants, conservateurs et arômes artificiels et les multiples friandises.
- Eviter l'alcool.
Des recherches récentes ont montré que pour lutter efficacement contre l'ostéoporose, il convient de consommer un minimum de 800 gr de fruits et légumes par jour. Cette découverte me paraît signifier que le calcium des végétaux est mieux assimilable par un adulte que celui des laitages. Pour les enfants qui ne supportent pas les laitages, le lait d'amande ou peut-être le lait de coco paraît une alternative plus sûre que le lait de soja qui provoque parfois des intolérances.
Nos ancêtres mangeaient cru
- Tous les fruits si on les supporte, sans oublier les bananes et les avocats (nos ancêtres vivaient souvent dans des zones de fruits exotiques). Pour ma part, je ne prends ni agrumes, ni kiwis car je ne les supporte pas. Je n'ai d'ailleurs supporté aucun fruit pendant six ans puis j'ai pu reprendre des pommes uniquement dans des salades de crudités et des bananes en dessert. Enfin, Je me suis aperçue que je supportais de nouveau d'autres fruits. Toutefois certains fruits ont sur moi une action acidifiante alors qu'ils ont une action alcalinisante sur les personnes en bonne santé.
Les noix oléagineuses telles que : amandes, noix, noisettes, noix de pécan, noix de macadamia (attention, une fois rances, toutes ces noix deviennent hautement cancérigènes).
- Les légumes tels que : fenouil, tomate, navet, concombre (épluché et épépiné pour qu'il soit digeste), céleri, céleri-rave, choux de toutes sortes, ail cru, oignon cru, poireau, carotte, courgette, pousses de bambou, radis de toutes sortes, salades vertes, betterave, poivron, melon, artichaut, champignons, petites herbes, etc...
« LA BACRÉRIE C. DIFFICILE DANS DE LA VIANDE »
Ce titre était dans la Presse Canadienne, hiver 2006.
Voici l’article intégral
« « « TORONTO. La bactérie C. Difficile a été identifiée dans diverses viandes hachées ou transformées vendues dans les épiceries du Canada et des États-Unis. Une découverte qui a prise certains experts par surprise et qui pourrait, selon eux, être reliée aux récents changements mystérieux observés dans le mode de fonctionnement de la maladie. La Presse Canadienne a appris que certaines VIANDES AMÉRICAINES contenaient la souche de la C. Difficile hautement pathogène qui a été à l’origine de plusieurs éclosions graves dans des hôpitaux au Québec ainsi qu’aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, au cours des dernières années. Au Québec seulement, on attribue à la souche (américaine) en question environ 2000 décès en 2003 et 2003. Bien qu’elle affecte toujours principalement les personnes âgées hospitalisées (la viande livrée dans les hôpitaux vient d’où ?), la maladie associée à la C. Difficile a subi une évolution inexpliquée récemment --- des décès ont été constatés chez des gens plus jeunes. Les experts soucieux de comprendre ce qui se passe avec cette bactérie disent que sa présence dans la viande pourrait fournir un indice, et que cette avenue doit être exploitée. » » »
2000 décès causés par la bactérie CLOSTRIDIMU DIFFICILE (vomissements et diarrhées) affirme Le Ministère de la Santé et des Services Sociaux et il recommande de se laver les mains après avoir manipuler de la viande crue. C’EST TRISTE : ces 2 000 personnes seraient encore vivantes si elles avaient mangé moins de viande ou pas du tout.
N LA BACTÉRIE ‘’CLOSTRIDIUM DIFFICILE’’ cause 1 000 MORTS PAR AN AU QUÉBEC. On retrouve cette bactérie C-Difficile dans la viande de porc et de vache (vomissements, diarrhées) confirme LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DU QUÉBEC (Journal du Québec, 18 oct 2006), et les Chercheurs recommandent de se laver les mains après chaque manipulation de viandes crues. Mais depuis peu, les Médias mentent en tentant de nous faire croire que la C. Difficile est propagée plutôt par les microbes dans les hôpitaux afin de disculper la viande (la viande est impropre è la consommation humaine).
Le syndrome du colon irritable. COLITES
« Le Gouvernement est accusé de vouloir faire de la C. Difficile une maladie fantôme ». M. Couillard se dit persuadé que le Gouvernement veut cacher la maladie, (tiré du journal Le RÉVEIL du 19 nov 2006). M. Couillard. Victime de la C. Difficile, affirme « Une enquête publique annoncée ne sera que pour faire oublier la bactérie C. Difficile pendant 3 ou 4 ans ».
LE POISSON et les cancers généralisés…
Le poisson est l’aliment le plus cancérigène qui soit. Fortement putrescible, le poisson décompose rapidement dans notre intestin et ses produits de la décomposition forment des gaz empoisonnant l’organisme humain entier. C’est chez les poissons pessivores que le taux de cancer est le plus élevé : car la chaîne alimentaire y est la plus longue (les petits poissons sont mangés par les moyens, et les moyens par les plus gros)! Son taux d’urée triple dès la sortie de l’eau du poison. Il est déséquilibré en sels minéraux et en calcium. Des ‘’Oméga 3’’ il y en a plein et de meilleures qualités dans les fruits et les légumes.
Le POISSON est fortement putrescible (il se décompose rapidement, et des gaz empoisonnés se répandent dans notre corps : aérophagie). Son taux d’urée triple dès la sortie de l’eau du poison. Il est déséquilibré en sels minéraux et en calcium. Le poisson est l’aliment le plus cancérigène qui soit. C’est chez les poissons pessivores que le taux de cancer est le plus élevé : car la chaîne alimentaire y est la plus longue (les petits poissons sont mangés par les moyens, et les moyens par les plus gros) !
VIANDE : AGRESSIVITÉ ET VIOLENCES. La viande rend violent… elle a mené aux guerres. N’oubliez pas qu’on nourrit abondamment de viandes et la plus saignante possible les soldats pour augmenter l’agressivité et les préparer mentalement à l’esprit de tuer. Carnivorisme = nomadisme = vie de survies, d’insécurités et de luttes.
CANCER COLORECTAL : la viande rouge et les gras saturés de la viande
Guérison
Dans les années 1930 , les nombreuses guérisons de cancers incurables sont obtenues avec un appareillage rudimentaire : Il s'agit d'un émetteur produisant des impulsions de très haute tension construit par le professeur G . LAKHOVSKY et employé dans de grands hôpitaux français, italiens et grecs. Il existe de nombreux rapports circonstanciés (voir plus loin).
Sans entrer dans la technique (voir pionniers) disons que ces impulsions de grande énergie répétées quelques dizaines à quelques centaines de fois par seconde transportent une onde de haute fréquence (un mégahertz tout au plus) dont les caractéristiques ne nécessitent pas de grande précision. Ces impulsions alimentent une antenne où sont induites de nombreuses harmoniques. On retrouve comme pour Priore la notion de choc, de haut potentiel, d'impulsion, de modulation BF, de fréquence préférentielle, etc..
Le Pr. G. Lakhovsky et des médecins de l'hôpital de la Salpètrière
Photo de 1932 montrant l'appareil et une des patientes en traitement (cancer de la face) On induit ainsi de véritables chocs au niveau de la MEMBRANE CELLULAIRE modifiant ainsi sa polarisation et par là-même les propriétés de la cellule.
Naturellement il existe de nombreux échecs en particulier sur les tumeurs profondes, peu accessibles au champ électrique, et surtout parce que ces malades étaient confiés à un stade terminal, bien souvent aux portes de l'agonie, au dessus de toute ressource thérapeutique. Et aussi du fait de la méconnaissance du mécanisme d'action biologique : on imaginait alors que ces ondes détruisaient les cellules tumorales. On sait aujourd'hui grâce aux travaux de Priore que ce mécanisme est local par action directe sur la cellule cancéreuse mais surtout immunitaire. Il faut donc stimuler aussi le système de défense en traitant tout l'organisme. Enfin on ignorait totalement l'importance d'une durée de traitement suffisamment longue . Nous ne disposons pas comme pour PRIORE d'études sur la durée des séances , leur nombre, le temps cumulé de traitement, leur début par rapport au stade de la tumeur, etc. Notons cependant les faibles temps d'exposition pour d'aussi remarquables résultats !
Il n'a jamais été observé d'effets nocifs, quelque soit la pathologie , le nombre et la durée des séances de traitement. Ces "séances "durent 15-20 minutes, répétées une à deux fois par semaine environ. L'amélioration de l'état général est immédiat, la tumeur régresse en quelques semaines , et disparaît en quelques mois lorsque elle est superficielle, alors même que le traitement a été arrêté. On a le sentiment d'un effet retard.
Les essais d'amélioration des résultats par l'emploi d'ondes pures entretenues ont toutes été un échec (sauf sur les cancers des plantes, beaucoup plus sensibles aux moindres variations de champ électrique). La raison principale en est l'absence d'impulsions nettes et les tensions employées beaucoup plus faibles. Par comparaison elle atteint 100 kilovolts dans le premier cas, un à deux milliers tout au plus dans l'appareil à lampes.
Souvenons -nous de la règle d'or : il ne s'agit pas de transférer de l'énergie à la cellule cancéreuse mais d'induire une polarisation durable de sa membrane. Elle n'est sensible qu'au champ électrique. Toute la puissance des appareils consiste à générer un champ élevé et non à chauffer. Et que dire de l'appareillage actuel dont nous disposons qui travaille en très basse impédance (c'est à dire qu'il délivre beaucoup de courant inutile mais un champ électrique minimal)? D'ailleurs les successeurs de Lakhovsky qui ont pu augmenter notablement la puissance en augmentant le courant. Les résultats ont été catastrophiques ! On ne fait plus que chauffer ! A la limite on brûle! Ce qui faisait enrager le "maître".
Ce chauffage peut d'ailleurs être un atout non négligeable. Il permet de freiner le métabolisme cellulaire de la cellule cancéreuse qui lui est beaucoup plus sensible que la cellule normale.Ce peut être un "plus" non négligeable. Il permet ainsi d'employer des champs électriques intenses sous haut voltage dont on peut utiliser outre l' effet de polarisation, l'élévation de température induite.
Rappelons que l'état désespéré des malades confiés au traitement permettait rarement des résultats aussi stupéfiants, cependant on assiste toujours à une régression de la tumeur, à une spectaculaire amélioration de l'état général et à la quasi-disparition des douleurs.
CANCER COLORECTAL : la viande rouge et les gras saturés de la viande
Si les rayons solaires étaient les seuls responsables des mélanomes, ceux-ci fleuriraient sur les mains et les visages, sur les régions de l'épiderme constamment exposé à la lumière. Il n'en est rien.
Laurent Schwartz, cancérologue.
Les responsables de la Health Education Authorithy soulignent que le cancer de la peau est la forme de cancer la plus répandue en Grande-Bretagne. On ne peut pourtant pas dire que ces habitants soient particulièrement exposés aux rayons solaires !
Nous avons vu plus haut que TotalFina-Elf possèdait plus du tiers de Sanofi-Synthélabo, industrie pharmaceutique qui est à l'origine d'un médicament appelé Heparine®, utilisé comme anticoagulant lors de polychimiothérapie. L'Oréal est un des fabricants de cosmétiques solaires qui vend ses produits sous des marques telles que La Roche Posay, Biotherm et Vichy. L'une des hypothèses soulevées par le Dr Alain Sarrasin, chercheur au CNRS, à la suite d'études menées au début des années 90, est que des réactions chimiques cancérigènes pourraient être provoquées sur la peau par l'action du soleil sur les crèmes. Est-ce un hasard si L'Oréal, lui-même détenu à 26,3 % par le géant Suisse Nestlé, détient près de 20 % de parts dans le capital de Sanofi-Synthélabo ? Mais je me rassure en me disant que ces interrogations ne sont que le fruit d'un délire paranoïde, une des formes de la schizophrénie. Je pourrais me soigner en prenant du Solian®, un produit de la gamme Sanofi... De là à dire qu'ils ont même prévu des produits destinés à endormir les esprits un peu trop curieux, il n'y a qu'un pas quand on constate qu'ils sont aussi à l'origine du dentifrice au fluor Fluocaril®.
Des études récentes citées dans le rapport de l'INERIS et publiées après le naufrage du Sea Empress au Pays de Galles et de la catastrophe de l'Exxon Valdez en Alaska comparent des personnes exposées et des non-exposées aux hydrocarbures. Ces investigations démontrent chez les premiers un taux plus élevé de symptôme d'ordre psychologique comme anxiété et dépression. Pour traiter ces symptômes, il existe un médicament bien connu : le Tranxène® des laboratoires... Sanofi-Synthélabo. Les ventes de psychotropes en France représentaient un marché de 3,5 milliards de Francs en 1993. Le nombre total de prescription dépasse 60 millions par an. Ce phénomène est-il seulement le reflet d'un malaise dans notre civilisation, ou les effets secondaires d'une industrie pétrochimique débridée, qui exerce ses activités dans l'indifférence complice des pouvoirs publiques qui ont tout intérêt à ce que la paix sociale perdure, même sous assistance médicale ?
Pour l'ensemble de la population française, les causes de décès les plus fréquentes sont les maladies de l'appareil circulatoire (un tiers), les tumeurs (un peu plus d'un quart). La répartition par grands groupes de pathologies reste relativement stable dans le temps. On note cependant la progression du poids des tumeurs qui sont devenues la première cause de décès pour les hommes alors qu'il s'agissait auparavant de la pathologie circulatoire. Cet accroissement relatif du poids des tumeurs est continu quels que soient le sexe et l'âge, en dépit de progrès localisés
<<Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine, la maladie ET
Qui sont ceux en arrière de ces Mc Namara et
Ce qui n’est jamais soulignée c’est que : la cigarette cause environ 15 % des cancers du poumon : l’alimentation y est à 33% et l’environnement pour le reste
Causes Mondiales
États semeurs de maladies
Les réseaux financiers de la famille Ben Laden ET LE GROUPE F L U O R :
Depuis 1980, la plupart des activités internationales du groupe soudanais Ben Laden sont gérées à travers les bureaux Genevois de la Compagnie d'Investissement saoudite (SICO - Saudi Investment Company) qui a été établi le19 mai 1980. Cette société contrôle une centaine de sociétés offshore dans la plupart des paradis fiscaux, et des filiales qui développent des activités dans le transport maritime et dans le secteur immobilier. Elle est en relation directe avec la maison mère qui est installée à Djeddah.La SICO étant ses ramifications de Londres jusqu'à Curaçao. La branche de Curaçao, établie en 1984, s’occupe de l'association du groupe Ben Laden avec la société américaine Daniels Realty (Daniels Realty Corporation - Duspic), une partie du conglomérat de la société Fluor. C'est en partie à travers le l'influence des Ben Laden que le groupe Fluor fut un des destinataires majeurs des contrats de reconstruction au Koweït.
BACTÉRIE C. DIFFICILE DANS DE LA VIANDE
Près de 30 % des échantillons de boeuf, de veau, de dinde et de porc hachés analysés aux États Unis et 18 % de ceux examinés en Ontario contenaient la bactérie C.difficile, tiré d'un article dans le journal Emerging Infectious Diseases.
Des chercheurs britanniques décryptent le génome de la bactérie C. difficile (26/06/06 à 23 h 43)
L'Institut britannique Sanger annonçait fin de semaine dernière le séquençage de la bactérie Clostridium difficile, publiant ces résultats dans la revue Nature Genetics. Cette bactérie, majoritairement impliquée dans les infections nocosomiales, provoque des diarrhées, douleurs abdominales et hyperleucocytoses. (...)
C. difficile : La viande en serait contaminée lors de l'abattage des bêtes et de la coupe des carcasses
Le 18 Octobre 2006 à 17 h 34 - Radio-Canada
Des microbiologistes du ministère de l'Agriculture, Pêcheries et Alimentation du Québec estiment que la bactérie contaminerait la viande lors de l'abattage des bêtes et la coupe des carcasses.
Des chercheurs trouvent des traces de la bactérie Clostridium difficile dans de la viande de boucherie
Le 04 Octobre 2006 à 19 h 30 - Radio-Canada
Des scientifiques canadiens et américains présentent leurs travaux montrant la présence de la bactérie dans de la viande lors d'un congrès mondial de médecine vétérinaire en France.
Découverte surprenante - Des chercheurs trouvent la bactérie C. difficile dans de la viande hachée. Toronto -- La bactérie C. difficile a été décelée dans diverses viandes hachées ou transformées vendues dans des épiceries du Canada et des États-Unis, une découverte qui a surpris certains experts et qui pourrait, selon eux, être reliée aux récents changements mystérieux observés dans le mode de fonctionnement de la maladie.
La Presse canadienne a appris que certaines des viandes américaines contenaient la souche de C. difficile hautement pathogène qui a été à l'origine de plusieurs éclosions graves dans des hôpitaux au Québec, ainsi qu'aux États-Unis et en Grande-Bretagne, au cours des dernières années. Au Québec seulement, on attribue à la souche en question environ 2000 décès en 2003 et 2004. Bien qu'elle affecte toujours principalement les personnes âgées hospitalisées, la maladie associée à la bactérie C. difficile a subi une évolution inexpliquée récemment -- des décès ont été constatés chez des gens plus jeunes, et on a observé plus d'infections hors du milieu hospitalier. Simultanément, la souche épidémique s'est répandue rapidement en Amérique du Nord et en Europe. Les experts soucieux de comprendre ce qui se passe avec cette bactérie disent que sa présence dans la viande pourrait fournir un indice, et que cette avenue doit être explorée.
Le docteur Dale Gerding, du Hines Veterans Affairs Hospital, à Chicago, qui n'a pas participé à la recherche, estime que c'est une piste à suivre. Mais il souligne qu'il est trop tôt pour conclure que les gens peuvent contracter la grave diarrhée -- parfois mortelle -- que provoque la bactérie en mangeant de la viande contenant la C. difficile. Il n'y a encore aucune preuve que la bactérie C. difficile soit une maladie d'origine alimentaire, selon le Dr Gerding et d'autres spécialistes.
Recherches
Un rapport préliminaire des travaux effectués à Guelph devait être présenté aujourd'hui à un congrès mondial de buiatrie (médecine vétérinaire bovine) en France.
Deux équipes de chercheurs, en Arizona et en Ontario, ont trouvé des spores de la bactérie dans des échantillons de boeuf, veau, dinde et porc hachés, dans de la saucisse de porc, du chorizo, du saucisson demi-sec et du saucisson de foie. Près de 30 % des viandes testées en Arizona et 18 % de celles examinées en Ontario contenaient la bactérie C. difficile. L'équipe de Guelph, en Ontario, n'a pas retrouvé la souche épidémique humaine de la bactérie
Les chercheurs ontariens, qui n'ont examiné que du boeuf et du veau hachés, travaillent actuellement sur une étude englobant une plus grande quantité d'échantillons, dont de la viande achetée au Québec
C. difficile dans la viande
Pouvons-nous attraper la bactérie Clostridium difficile en mangeant de la viande infectée?
La question soulevée au début d'octobre par des chercheurs américains et canadiens est abordée à un congrès mondial de médecine vétérinaire qui se tient cette semaine en France.
Les travaux des scientifiques ont montré la présence de traces d'infection dans des animaux de boucherie, dont des veaux de lait ontariens.
L'étude menée par des chercheurs du Collège vétérinaire de l'Ontario, situé à Guelph, a aussi permis d'apprendre que la bactérie avait été isolée dans des pièces de viande en circulation dans le secteur de la vente d'aliments au détail.
De plus, les chercheurs ont découvert que des traces d'une souche de C. difficile (celle-là même qui a provoqué des flambées de cas d'infection dans des hôpitaux au Québec) ont été retrouvées dans les excréments de vaches laitières en Ontario.
D'autres études américaines avaient aussi fait état de la présence d'autres souches de C. difficile chez des porcelets.
Dangereux ou pas?
Pour le moment, les chercheurs ignorent si on peut être infecté et contracter une maladie associée à la bactérie C. difficile en consommant de la viande contenant la bactérie. Ils estiment toutefois qu'on doit répondre à cette question dans les plus brefs délais.
Les équipes de recherche procèdent actuellement à des travaux à plus vaste échelle qui englobent une plus grande quantité d'échantillons. De la viande achetée au Québec sera ainsi analysée. Les présents travaux sont l'objet d'un article dans le journal Emerging Infectious Diseases.
Habituellement, le C.difficile est considéré comme une infection qui se contracte en milieu hospitalier, où l'usage d'antibiotiques est courant. Les antibiotiques perturbent la flore bactérienne du système digestif chez l'humain, ce qui peut favoriser son éclosion. Toutefois, de plus en plus, des cas de maladies associées au C. difficile sont détectés chez des gens n'ayant pas été hospitalisés.
La semaine dernière, une étude du Centre universitaire de santé McGill a montré qu'il existait un lien entre les médicaments contre les brûlures d'estomac et les infections au Clostridium difficile.
Des antibiotiques sont aussi associés au développement de la maladie, dit la journaliste au TVA de 22 hrs 15 ce 28-9-7
Les hôpitaux ne sont pas les seuls à être aux prises avec le C. difficile. Il semble qu’une souche particulièrement virulente de cette affection se soit développée dans nos restaurants, le client difficile. Il s’agit d’un phénomène difficile à cerner auquel on doit prêter une grande attention. Marie Couture, une serveuse de 35 ans de carrière, nous raconte ses expériences et nous donne quelques conseils sur la façon d’identifier le C. difficile et d’interagir avec lui.
La scène se passe dans un restaurant de fruits de mer. Un couple s’attable et commande un apéritif. Au premier c ontact, l’homme affiche une froideur évidente. Les verres sur la table et leur choix de menu arrêté, la serveuse leur alloue une vingtaine de minutes pour servir le plat principal. Or, en apportant les assiettes, elle s’aperçoit que les clients n’ont pas encore terminé leur verre.
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