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Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.". ''La liberté saine qu'on accorde aux autres c'est aussi de la liberté qu'on s'accorde''
À LIRE ET RELIRE
Personne ne saura comment tout cela a vraiment commencé, si les cieux n’y sont pas pour quelque chose, mais voici comment ils se sont rencontrés et épris l’un pour l’autre en cette vie
Mais avant, il me pla^pit de vous faire imaginer ceci….
À des millénaires d’Étoiles d’ici, Viny et Merry étaient 2 étoiles en train de se refroidire de solitudes perdues aux confins des cieux et situées aux extrêmes l’un de l’autre.
Il leur était impossible de se voir tellement ils y étaient éloignés l’un de l’autre, mais… Mais avec l’Amour on a toujours plein de surprises.
Une nuit brillante comme toujours mais ennuyante pour nos 2 soleil en train de s’éteindre, leurs tristesses si grandes, tristesses telles des ondes qui ses sont rejointes comme un cri venant de l’infini, un dernier souffle, et là ces 2 étoiles à quelque part dans l’immensité : se touchèrent d’un courant de désespoir, et un éclair les foudroya tous les deux en eux….....
.... ils venaient de se rendre compte l’un de l’autre, ils se savaient maintenant, maintenant ils savaient que l’amour existait.
Ils se mirent à se chercher. à tenter de se toucher par leurs couleurs et leurs rayons, et comme par magie, petit à petit ils se mirent à éclairer tant le cosmos, à tant se parler de toutes leurs couleurs possibles, ils se trouvaient beaux, ils se touchaient de plus en plus de leurs rayons, et à travers ces millions d’étoiles, eux, ils ne voyaient qu’eux, aucune des étoiles n’arrivaient à empêcher leurs rayons de se toucher, de s’électrifier…
L’Amour naissant, cet amour leur apprena d’instant et d’instinct qu’il existait une Planète appelée ‘’Gayâ’’ (
Pour cela il suffisait seulement de laisser grandir l’amour et l’âme des étoiles qui s’aiment réellement un moment donné finissent par se matérialiser en cette vie terrestre.
Et c’est ce qui se passa pour Viny et Merry
Viny si matérialisa en CIGALE et Merry en FOURMI
Comment la jeune fourmi Merry s’éprie pour l’éternité de la vieille et sage cigale Viny?
Quand l’Amour et non
Quoi d’impossible à l’Amour!
La vie sait ce qu’elle fait, si elle amène de êtres opposés en tout à s’aimer malgré eux : ce n’est pas pour rien
L’amour les amenait à tout aimer
Ils se parlaient la nuit dans leurs rêves, et chacun de leurs côtés, loin l’un de l’autre et pourtant, ils se réveillaient en pleine nuit baignés de larmes en pensant l’un à l’autre malgré eux
La fourmi comme toutes les autres fourmis étaient passés par les filtres d’une éducation élitiste qui enseignant la compétition et les prolétarisme utilitariste
La cigale n’avait que pour maître que
La fourmi pressée de vivre, était toujours à la course, elle travaillait et travaillait chaque jours, chaque secondes de la clarté à la noirceur
La cigale se trélassait et trouvait magnifique ces fourmis qui couraient dans toutes les directions.
Mais un jour, une fourmi faisait le tour de la cigale sans trop la voir tellement elle était affairé à trouver des carcasses à ramener au terrier. La cigale Viny trouva cette fourmi si mignonne qu’il en tomba instantanément séduit. Il était carrément hypnotisé par elle, son regard était collé sur elle, il la suivait du regard et il sentait de plus en plus son cœur s’accéléré de passion pour cette fourmi qui rôdait autour de lui comme par hasard et sans le voir, aveuglée par sa routine animale. Cette fourmi revenait tous les jours près de Viny, cherchant du travail, cherchant inlassablement quelque chose è rapporter. Elle commença bien, jour après jour par se rendre compte que la cigale adorait la regarder et la fourmi pris goût à se faire désirer ainsi par une cigale.
Que d’amour et d’eau fraîche
Ces jardins si beau que vous avez semés en nous
Ces êtres édéniques, parfums du paradis, qui nous donnent le goût de passer notre vie qu’à vivre d’amour, élève nos âmes jusqu’au paroxysme et le sublime
Ô FLEURS
©
L’univers les aime
Il avait en lui les plus nobles idéaux de l’humanité.
Ils ont fondé une nouvelle famille
Elle avait eu des fourmis avec une autre fourmi qui l’avait quittée : et Viny était ravi de s’occuper des bébés fourmis de celle qu’il aimait
Elle souffrait du détachement né de la profonde douleur ressentie à des attentes vaines, à notre lâcheté d’éviter de remettre en question les idéologies antifraternelles de la compétition, à l’impuissance de nos Représentants qui rampent devant le PRIVÉ (Multinationales)
Merry s’ennuyait du bonheur, de retrouver le calme.
Elle a réveillé la cigale de sa vie de rêveries, maintenant les seuls rêves que Viny a sont centrés sur Merry
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OÙ ES-TU CIGALE DE MON CŒUR
Imaginez un chat élevé avec un chien et que l’amour naisse entre eux. Imaginez qu’ils ne se quittent plus. Même si ils ne peuvent avoir de fruits de leur union cela ne les empêche pas de cohabiter voire de s’aimer.
La fourmi Merry, inconsolable, espère toujours revoir la cigale de son cœur, Vivy, disparue depuis quelques temps on ne sait où
Merry regrette, elle a comprise trop tard, l’amour est parti, celui qui l’aimait vraiment
Elle souvient
Viny, cette cigale mature et sage, méditait comme toujours aux mêmes moments près d’un ruisseau sur une pierre sous un arbre
Aussi, tous les jours la fourmi Merry faisait le tour de cette pierre sans jamais trop apercevoir la cigale qui chantait et rêvassait
Ais un langage commun allait les rapprocher : celui du cœur
Merry, instruite, connaissait la langue des cigales, d’ailleurs depuis son enfance qu’elle les entendait chanter
Viny aussi connaissait le langage des fourmi, lui, fin observateur qui savait tout contempler et apprécier
Mais cette fourmi qui venait faire le tour tous les jours
Ils avaient connaître leurs langues : ils ne se connaissaient pas
Un jour la fourmi transportait quelque chose de beaucoup trop lourd pour elle
Et la cigale descendit de sa roche, non pas pour l’aider mais pour lui conseiller de se ménager un peu
La fourmi, fière travailleuse, lui dit que rien ne l’arrêterait et encore moins cette branche 3 fois plus grosse qu’elle
La cigale impressionnée la regarda faire et se démener, même si paresseuse qu’est naturellement une cigale, Viny la cigale aida un peu la fourmi
« Je suis la honte des cigales, la honte des grands penseurs des cigale de sortir de ma tranquillité pour travailler pour rien » se dit Viny
« Mais pourquoi aider cette fourmi qui ne sait faire que ça se rendre utile et même sans savoir pourquoi elle le fait »
« Mais ces fourmis, souvent elles détruisent tout sur leurs passages »
et puis Viny revient peu à peu à ses méditations et à ses chants
Le lendemain, il avait même hâte de revoir Merry. « Elle est là » s’exclame-t-il. Et il la sent elle aussi tout aussi contente que lui de le voir
Comme pour le faire par exprès, Merry se prends encore quelque chose de trop lourd pour elle.
Viny accourt et lui barre la route et lui dit « Repose-toi et parlons un peu tu veux »
Elle dit « Parler, parler mais vous ne faites que cela vous les cigale, nous les fourmi on a pas le temps : on travaille nous »
« Mais vous faites l’amour quand » lui demanda Vivy
« L’amour », mais c’est aussi un travail pour nous
« Et le plaisir de vivre, et ces jolies étoiles là haut, vous ne les appréciez pas ?» ahuri lui dit Viny
« Non, pas le temps, vraiment pas le temps pour ces choses inutiles »….. répondis Merry et elle parta péniblement son chemin
Ému et attendri face à cette minuscule petite et si mignonne fourmi qui ne se pose jamais de question et qui fait ce qu’elle doit faire :
Viny maintenant passait ses journées à ne penser qu’à elle, il n’était plus le même, il la trouvait plus belle que toutes les étoiles, plus importante que tout
Viny chantait différemment, il devenait de plus en plus mélancolique, et à chaque fois qu’il la voyait, son cœur battait toujours de plus en plus fort
Merry s’en apercevait et cela la distrayait, elle semblait même prendre de plus en plus sont temps à chaque fois, elle prenait plaisir et ne nse rendait pas compte qu’elle était en train de travailler de moins en moins.
« Si toutes les fourmis se mettaient comme moi à paresser, mais qu’est-ce qui arriverait » se dit Merry
Mais elle aime de plus en plus flâner pour être de plus en plus longtemps près de Viny, elle aime se faire regarder par lui
Merry devient dépendante du plaisir, elle prend conscience d’elle, de ses besoins d’être désirée, elle n’avait jamais connu cela mais c’était si agréable
De soin côté, Viny était épris de Merry, elle le savait, l’émotion aussi la débordait
Chaque jour, ils aimaient s’apercevoir, se regarder de longs moments et s’aimer du regard simplement
Le temps grandissait leur amour, ils sentaient le besoin de se rapprocher, d’être toujours ensemble mais tout les en empêchait
Et c’est ce besoin qui fit jaillir en eux la mélancolie, une telle tristesse qui grandissait d’heures en heures : c’était de l’amour
Maintenant, même lorsqu’ils ne se voyaient pas : ils étaient bien, ils étaient habité l’un de l’autre. Mais en même temps c’était souffrant
À chaque fois ils étaient comblés de bonheur de se voir, et puis le vide lorsque Merry repartait.
Il devenait si souffrant pour eux lorsqu’ils étaient loin l’un de l’autre que les larmes les envahissaient
Merry avait des tas de prétendants. Viny aimait trop Merry pour se laisser distraire par les jolies cigales
Pendant plusieurs jours il ne la revint plus. Il se douta bien que Merry avait une amourette avec une autre fourmi
Un jour, il vit Merry avec une autre fourmi. Puis il les revit souvent ensemble. Viny peu à peu s’enfonça dans une immense peine permanente
Il ne chantait plus, il n’avait plus envie de regarder le ciel, tout lui semblait sombre et sans importance
De rêveur il devint lunatique, perdu, étrange pour les autres, tous ses amis s’inquiétaient pour lui
Tous savaient son amour impossible pour une quelconque fourmi que lui seul savait reconnaître parmi toutes
MALENTENDU
Il essaya de l’oublier. Le temps y parvint presque. Un jour comme un autre, Vivy revint Merry.
Elle était avec sa mère et une amie, il ne se doutait pas qu’ellerevenait pour lui, que maintenant sa mère acceptait cette étrange union
Dans sa tête, Viny était convaincu que Merry était enceinte puisqu’elle était fortement engraissée
Merry s’approche non loin de lui et lui fait un beau sourire, mais Viny ne regarda que le ventre légèrement grossi de la fourmi.
Merry vit son air découragé et pensa que Viny la trouvait énorme et ne voulait plus rien savoir d’elle
Merry parti si déçue. Viny ne comprit que plus tard la réalité de ce qui s’était passé « Elle était venue pour moi » se rendait-il compte mais trop tard
« Elle m’aime, je ne m’étais pas trompé, elle m’aime toujours », heureux, il se promenait partout, remerciait le ciel, chantait fort et de bonheur mais à la fois inquiet de savoir si elle comprendrait. Une question refroidit son bonheur « Mais si elle est devenu aussi grosse, c’est qu’elle mange ses émotions : c’est qu’elle est en peine d’amour avec cette fourmi qui jouait avec elle », et il retomba dans les limbes de la morosité et cessa ses chants
Ils se revirent n jour, Viny était touojours seul mais avait déjà eu des enfants, et il en était de même pour Merry.
Ils décidèrent de vivre ensemble. Leurs enfants venaient les voir régulièrement, et ils aimaient tous leurs enfants également
...... à suivre .......
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