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Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
À LIRE ET RELIRE
Cette carte fut offerte en 2010 aux étudiants de l'UQAC puis ils l'ont fait disparaître, mais j'en ai une chez-moi. Donc, même si l'ex-premier ministre Pierre Eliot Trudeau a fait semblant de rapatrier la Contitution canadienne qui était à Londres en 1982, la carte ci-bas prouve qu'en 2010, le Canada était toujours un dominion britannique....
Ce qui veut aussi dire que toutes les mines, toutes les multinationales du Canada, TOUT, tout est proprité directe ou indirecte de la Courone Britannique, et, aussi nos CHEFS
Clark, Joe, ex-Premier ministre du Canada et l'ex-ambassadeur d'Iran travaillaient pour la CIA
Un travailleur en bas de 60 000$ par année NE DEVRAIT PAS PAYER D'IMPÔTS
C'est aux riches à payer des impôts pas aux citoyens moyens
Des dépendants d'eux et de tout nous gouvernent
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L'ex-ambassadeur canadien en Iran travaillait pour la CIA
L'ancien 
ambassadeur canadien en Iran, Kenneth Taylor, lors de la crise des otages de 1979, en pleine révolution islamique, a révèle qu'il a agi comme espion pour le compte de la CIA. En entrevue au Globe and Mail, M. Taylor rompt lui-même le silence qu'il a gardé pendant 30 ans et admet qu'il est devenu espion à la solde des Américains à la suite d'une entente secrète entre le premier ministre canadien de l'époque, Joe Clark, et le président américain Jimmy Carter.
ambassadeur canadien en Iran, Kenneth Taylor, lors de la crise des otages de 1979, en pleine révolution islamique, a révèle qu'il a agi comme espion pour le compte de la CIA. En entrevue au Globe and Mail, M. Taylor rompt lui-même le silence qu'il a gardé pendant 30 ans et admet qu'il est devenu espion à la solde des Américains à la suite d'une entente secrète entre le premier ministre canadien de l'époque, Joe Clark, et le président américain Jimmy Carter.
